L’art de rêver

L‘art de rêver ou celui de créer sa réalité, ce mélange entre l’imagination et l’effort conscient investi dans notre talon. Bien placé dans notre double hélice, ce don divin est inné chez chacun d’entre nous.

Ma vision de cet art est simple.D'Abord je joue au pêcheur et de là où je suis, je lance ma canne à pèche aussi loin que je peux, la force de mes mains ne dépend que de mon imagination et les limites que je me suis données. Puis vient l’attente que ça morde qui représente la précision de ce que je veux vraiment qui à travers mes introspections je peux savoir pertinemment ce qui est bon pour mon être que ce soit un succès où une leçon à en tirer, cela le temps me le dira. Tous les pêcheurs vous le diront; la patience fait loi. Suite a ça et à la puissance de l’attraction de mes pensées ça fini par mordre et après les rêveries j’entre en action. Cela se joue entre la visualisation du chemin quand je vais tirer le moulinet. L’astuce est de ne pas se focaliser sur les obstacles car c’est le meilleur moyen pour que ce que tu a attrapé se coince dans un rocher, ou alors je prend conscience que le reflet de cette réalité est l’océan où je pêche quand je décide de rêver et dans mon imagination les lois de la physique, comme la gravité, laissent place à la créativité afin de trouver un moyen de marche sur l’eau ou ce reflet pour que je puisse atteindre mon rêve et faire de lui une réalité   . 

Cette idée qu’on est maître de nos pensées, créateur de tous ce qu’on pourrait imaginer représente une infinité de choix et de possibilité mais aussi de la responsabilité vu qu’on est le seul à juger de ce qu’on pourra façonner.

Ce qui m’attriste de nos jours est qu’on ne peut s’empêcher de ne pas s’occuper l’esprit, un grand sentiment de mal être se créé, que je représente comme la peur du pouvoir de nos pensées et vu qu’il n’est pas bien maîtrisé, s’acharne sur les possibilités que quelque chose pourra mal se passer dans cette réalité à laquelle en s’agrippe  pour un semblant de sécurité. Dehors la lumière du jour éclaire  nos sens physiques, nous aide à voir, entendre ,goûter, toucher ou sentir  et comble notre ego avec la soif de contrôle en cachant de plus en plus notre lumière  intérieure qui est supposée éclairer notre profondeur et favoriser nos sens spirituels qui sont révélateur sur notre pouvoir créateur ; l’émotion ,l’intuition, la conscience , l inspiration et l’imagination.

Ce qui me réjouit  par contre c’est de voir  que face à ce fléau de plus en plus d’âmes s’éveillent et nous font part de leurs potentiels créateurs,  des façons plus ingénieuses les une que les autres à marcher sur la mer, de leurs imaginations pour atteindre leurs rêves.

Si on regarde les choses par rapport à leurs finalités, comme ce qu’on fait constamment dans notre vie quotidienne, la mort nous attend tout ce qui ne réduit pas son importance mais nous montre la valeur du chemin à entreprendre et le pouvoir de chaque instant du moment présent, la fatalité n’est jamais loin  mais les miracles sont partout et existent en chacun d’entre nous.

Derrière chaque âme on trouve un artiste ce qui à mes yeux représente toute la population terrestre même si  la vie a fait autrement  de part leur vécu pour ne pas leur donner cette vision d’eux même. Tous nos rêves émanent de chaque âme sont similaire et c’est probablement la façon qui diffère de part les prédispositions. On est tous unique et on converge vers une seule chose, une paix universelle, un amour inconditionnel et un bonheur éternel.  

La perception du bonheur.

Au fil du temps et de bien des façons j’ai pu voir et lire beaucoup de définitions, d’étapes et de règles pour pouvoir accéder ou connaitre le bonheur. Dans les livres les réseaux sociaux on remarque ceci de plus en plus.

Personnellement ça me comble énormément de lire ces articles ou de voir ces vidéos qui nous proposent, chacun à sa manière, de connaitre le bonheur mais le bien que ça me fait ne vient pas de leurs leçons de vie mais plutôt de pouvoir concevoir que de nos jours les gens partagent de plus en plus leurs sources de bonheur. A mes yeux c’est un grand pas vers notre évolution interne; ceci est la raison de mon bonheur personnel car chacun de nous a ses propres règles et étapes pour y accéder, et plus on avance dans la vie plus on les apprend et on les découvre.

Unique c’est ce qui nous défini depuis toujours mais nous uni tous en même temps, que de ses différences on a pu créer  une ressemblance. La diversité est la pour compléter car personne n’est parfait et qu’on doit apprendre à accepter ce fait pour pouvoir évoluer, afin de s’apercevoir que c’est à travers autrui que réside notre plus grand pouvoir : celui d’aimer qu’il soit un membre de la famille, un proche, un ami,  un coup de cœur ou une âme sœur voir même un inconnu, que par sa vision du monde nous fait ressentir cette ressemblance qu’on est là dans ce monde pour aimer, gratifier et partager.

Après ce que j’ai pu observer durant ces années est que l’homme a toujours donner une grande importance au regard des autres sur lui, mais malheureusement pour lui il s’est arrêté à la perception que  son ego lui  a proposé une vison sèche et restreinte  de ce qu’on pourrai voir en lui, et nous aveugle face à la vérité qui est  aussi simple qu’on peut ne pas être parfait et être aimé pour qui on est.

Je ne vais pas vous sortir « 11 ways to find true happiness »,  le nombre importe peu et les étapes aussi, par contre je vais partager avec vous ce qui me procure du bonheur cette émotion personnelle à toutes et à chacun ce mot a beau être universel sa définition reste du domaine de la perception individuelle.

L’être humain a ce don d’être son propre créateur et sa créature à la fois ici on constate notre grandeur dans ce vaste monde mais aussi à quel point on est insignifiant si on ajoute aussi l’échelle du temps, car ce qui a fait de moi qui je suis  dépend certes de mon vécu mais sa compréhension dépend de moi et ceci fait toute la différence. Lors de n’importe quel événement qui survient dans notre vie la fatalité fait en sorte qu’on ne peut rien faire pour le changer mais une grand prise de conscience peut nous prouver que notre point de vu sur la situation  est un cadeau que je vois divin car ça nous offre une plus grande perspective d’un meilleur avenir. Si on prend un exemple de quelque chose qui nous est arrivée et que sur le coup on s’est senti égaré ,maltraité ou on a peu être pleurer face à une injustice qui n’est pas mérité, on peut voir qu’avec le temps tout c’est bien passer et si cela n’était pas arriver on aurait pu rater plein de prise de conscience, de leçons qui nous était destinées afin de préparer le terrain pour quelque chose de plus grand qu’on aurait jamais pu imaginer  .

Le fait de penser ainsi que même des pires situations quelque chose de bien va en sortir me fait d’une certaine façon ressentir une très grande sécurité dans cette incertitude quotidienne qu’est la vie  et me fait découvrir une certaine sérénité, que par la profondeur de mes pensées je peux un temps soit peu goutter à ce bonheur causer par le fait que je ne peux rien contrôler et cette foi que j’ai me fait vibrer du plus profond de mon être me rassurant sur tout ce qui pourrai ce passer, que par ma simple pensée je peux changer ma vision sur chaque événement, que de la créature soumise au citation je deviens le créateur qui engendre les occasions.

Cette plénitude interne m’envahi quand je partage avec mes proches et les gens que j’aime l’étendu de notre potentiel  et mon interprétation de ce volcan d’émotions que je ressens envers eux la vie    et ce monde qui m’entour. Il faut avouer que cela m’a pris du temps avant qu’on arrête de me prendre pour un  rêveur, fou , idéaliste ou alors peut être qu’après toutes ses années ils ont fini par se fatiguer  ou accepter . Ce dont j’en suis sûr c’est que dans un monde comme le notre il n’y a que les fous qui disent qu’ils ne le sont pas, que ce partage me ressource et me fait le plus grand bien     et me pousse à dépasser la profondeur de mes pensées et à mieux exprimer cette effervescence de sentiments éprouvés et cherchant juste à être donnés .

Ces origines sont diverses est variées,dépendent de nous même et de en quoi on est doué .Ces racines sont bien encrées dans ce souffle de vie qui nous été donné, il a pu être masqué par les attentes de cette société et seul notre point de vu, notre perception des choses peut les déceler. Tout est une question de choix, le choix de voir les choses autrement chacun à sa façon .

Le bonheur à mes yeux n'est qu'une prise de conscience du créateur qui agit en moi et qui me fait oublier la créature qu'il veulent que je sois.

Le potentiel de la vie.

On arrive à un certain point dans notre vie où un accident, un événement, un incident se passe devant nous ou a l’un  de nos proche,  et vu qu’ils font partie de nous d’une manière ou d’une autre ce concours de circonstances qui nous fait tout dire, penser ou craindre que ça n’arrive pas qu’aux autres.

Ce moment d’arrêt d’urgence qui représente un signal d’alarme qui nous montre que la chance a toujours été de notre coté et que l’inquiétude futile et égoïste non pour égal que la futilité du masque qui couvre nos yeux face à ce qui réellement important ; notre vie. Cet  instant  là où  une introspection rapide et instinctive s’impose à nous sans même qu’on  ne se rende compte.

Pleins d’images s’acheminent à notre cerveau, une explosion d’émotions nous crispe, nous donne froid dans le dos et nous fait preuve de notre fragilité, nous fait voir ce que cette étincelle de lumière qu’on a en chacun de nous a du attisé comme chance, que peu importe notre âge tout ce qu’elle a fait est un miracle en soit de nous garde en vie jusque là. 

Si on remarque  les probabilités et ce avant même qu’on soit née était contre notre souffle divin  qui veille ardemment sur nous. Il nous a fait gagner notre première course et nous a évité pleins de problèmes  qui causent plein d’inquiétude chez tous les parents, on peut le voir avant et après la procréation, essayent d’imaginer tous les incidents qui pourrait arriver  fausse couche ou mort née, ses idées noires hantent leurs esprits à longueur de journée.          

                           

 A mes yeux,  c’est de la que vient le coup de vieux qu’on prend quand deux personnes décident d’avoir des enfants, de la que vient la surprotection ; un extrait d’une des plus grandes peurs qui puisse exister et qu’un être doit dépasser causée par la plus puissante des émotions : l’amour véritable des parents.

Si on lit toutes les statistiques de tout ce qui pourrait nous arriver depuis notre conception jusqu’a ce moment d’arrêt on trouve de tous des risque des maladies congénital sans oublier les chroniques.

Les accidents dans notre vie quotidienne de nos jours, arrivent à chaque seconde qui passe, du risque omniprésent de la conduite assaisonné à certains  facteurs favorisant ces incidents qui de nos jours est devenu une habitude  à d’autres plus complexes. Les tragédies ont toujours fait partie de notre lot  de vie pour une seule raison : nous montrer qu’il faut la préserver et bien la mener, après tous ce qu’elle a fait pour nous éviter chaque mal qui pourrait nous arriver car il ne suffit pas d’être doué en math pour savoir ceci ,si un ou plusieurs accidents, peut importe leur nature, arrivent toutes les secondes, on peut voir que les probabilités que ça tombe sur nous au cour du temps est fatidique et inévitable. L’humanité a un nombre précis si on veut la compté, mais pas le génie de l’univers qui agit sur tout un monde chaque seconde.

Suite à cette vague de pensées et d’émotions à essayer de  comprendre et à contrôler  beaucoup de choses de passer intérieurement pendant ce bref instant, on aperçoit notre lumière qui éclaire nos mauvais choix, nos peurs et nos faiblesse mais surtout ce qu’on a fait de bien car à ce moment tout ce qui fait de nous qui nous somme nous montre brièvement ceci tous  dépend de la nécessité, de l introspection, de la gravite ou la proximité de l accident. L’importance et la grandeur de qui on est,  nous laisse être juge de nos choix et de nos décisions pour nous faire prendre conscience de ce qui est vraiment important.

Généralement il faut prêté attention pour entrevoir cette force et cette volonté profondément encré en chacun de nous, moi je la vois  tous les  jour et partout de sa créativité sans limite à sa bêtise sans égale. La perception infondé de notre humanité, esclave de ceux qui pourraient nous juger pour un oui ou pour un non, l’ego s’en fou, il préfère tirailler qu’accepter qu’il n’est pas si parfait, mais qu’il n’y a rien qu’une âme ne puisse réparer et soulager.

L’être humain, depuis sa création ou son évolution tout dépend de vous, n’a pas arrêter de se surpasser : Avancées technologiques, prouesse physique et aujourd’hui avec les médias et réseaux sociaux quand il ne sont pas très occupés à propager de la propagande ou à essayer de manipuler notre vision du monde, il leur arrive de nous faire découvrir que rien n’est impossible si on s’accorde la volonté d’y arrive, qu’il suffit juste d’y croire, de rêver et de laisser notre imagination faire de son mieux à créer notre réalité.

Par la suite tout est une question d’estime de soi, de comment on se voit de s’accorder le choix.  Il suffit juste de voir tout ce qu’on à traverser au cour de notre vie et juger par nous même de là où on est et de ressentir cette prise de conscience de tout qu’on peut accomplir s’il n’y avait pas ces barrières invisible qu’on  s’est bâtis.

Il y a beaucoup trop de variables qui entrent en jeu pour nous prouver qu’on n’est pas fait pour une existence limitée, qu’on est la pour créer afin de partager, d’aimer, d’être rempli de fierté pour tous ce qui est accompli par la seul chose qui nous uni ; notre humanité.

L’amour passionnel de l’amour fusionnel

Je me souviens très bien de ce jour, j’avais 16 ans, c’était la première fois de ma vie où on me donnait une description aussi précise et générale à la fois de ce qu’on appelle l’amour.

Moi qui avait l’habitude d’observer ça chez mes parents à travers leur être et ce lien qui même à travers le temps n’a jamais failli face à aucune épreuve de la vie.  Je pourrais en parler pendant des heures car j’ai appris à aimer grâce à eux mais ce jour là j’ai eu une explication d’une clarté cristalline, d’une compréhension enfantine mais d’une sagesse divine. Depuis ce jour, cette définition agit en moi dans chacun de mes choix et à chaque instant je la comprends de plus en plus de mieux en mieux.

A cette époque j’avais une amourette de jeunesse. Je suis quelqu'un d’assez expressif depuis ma tendre enfance, je n’hésitais jamais à exprimer ce que je ressentais de bon ou ce que je vivais. 

C’était avec l’ami de mon père, une personne que j’admire énormément  et qui a eu une grande influence sur mon évolution interne. Il m’avait  écouté du début à la fin avec attention, je n’avais pas hésité à figurer de bien des façons et à essayer de spécifier ce que je ressentais.

 A cet âge on commence à grandir, on est en pleine adolescence et on veut qu’on nous traite comme un adulte.

Un individu normal, après m’avoir écouté ou prêté attention à mes paroles, m’aurait clairement dit : « A ton âge que connais tu réellement de l’amour ». Mais lui avec son âme de philosophe  et de sa compréhension de ce dont la vie lui a donné et appris m’a demandé :

 « Ressens-tu de la passion ou de l’amour pour cette personne ? »

J’allais tout de suite répondre, impulsif comme j’étais, et la réponse était claire, il avait rajouté : « Réfléchi bien avant de répondre, est-ce un amour passionnel ou un amour fusionnel ? »

Perplexe,  je fronçais les sourcils en plongeant dans ma foret de mots intérieur qui m’a toujours servie pour comprendre et décrire les choses. Chaque arbre représentait un mot, le sens commun comme tronc,  sa compréhension profonde comme racine, son utilisation au cour de ma vie comme branche et son  feuillage comme ressenti. Chaque fois que j’entendais ou usais de ce mot, j’étais là dans mon monde intérieur à observer devant moi ce que j’avais planté de l’amour,  la passion et de ce que je connaissais de la fusion. J’étais là à scruter, une par une, les ramifications et feuille par feuille essayant de trouver une explication convaincante afin de pouvoir prouver la beauté de ce que je ressentais.

Je parlais d’amour à droite et à gauche alors j’étais dans le faux depuis le début désorienté je lui avais  répondu « c’est de l’amour » mon ego avait pris le dessus et sur le coup j’avais perdu le Control.

Il me regardait et un sourire s’était affiché sur son visage, à ce moment précis il  a su qu’il m’avait fait prendre conscience de mon « ignorance », ce sourire reflète sa fierté de ma compréhension que j’essayais de déguiser. Il m’avait dit : « Je suis très heureux pour toi et connais tu la différence ? »

A cet âge, mes arbustes commencent à peine leur croissance et j’avais soif de connaissance pour que je puisse les arrosés et les voir évoluer, cachant mon intérêt derrière mon ego je rependis dit moi avec un air désintéressé

Il Prit une grande inspiration et avec sa sérénité habituelle m’avait fait part de ses pensées.

L’amour passionnel est puissant à une limitation dans le temps et ce qui prend le dessus est la possession. On apprécie ce qu’on voit mais si on remarque bien ce qu’on ressent réellement c’est la peur du jugement, que peut être on n’est pas assez bien ce qui donne naissance à la honte et à la culpabilité. On sent qu’on manque de quelque chose alors on commence à critiquer et à blâmer, la jalousie s’installe prenant part à ce cocktail d’émotion négatif qui suscite en nous l’agacement pour finir avec l’ennui d’où sa limitation.

Alors que l’amour véritable fusionnel est inconditionnel ne peut en aucun cas créer quelque chose de mauvais, ça va à l’encontre de sa nature et sa pureté. On peut l’associer de très prêt à l’amour maternel.

On comprend que ce qui compte vraiment n’est pas la possession d’autrui mais son bonheur qu’on découvre de ce qu’on ressent et nous révèle l’acceptation de soi  en tant qu’être pour apprendre à s’aimer soi même pour qu’on puisse aimer la personne qui partage notre vie. Ce qui nous montre aussi notre courage à dépasser nos craintes égoïstes,  l’espoir que même si on est partagé entre lumière et obscurité on pourra toujours distinguer ce qu’il y a de vrai pour pouvoir être fière de l’un comme de l’autre, d’un épanouissement constant afin de mieux apprécier ce bonheur qui ne nous a jamais quitté quand deux êtres s’entre aide à mettre de coté leur égo pour se concentrer sur cette paix qui se créé, que ni le temps ni la distance ne peut défaire.

Sur le coup je n’ai pas pu prononcer un mot.  J’étais là à voir que j’étais loin de la vérité et cette foret  que j’entretenais n’était juste qu’un commencement d’un petit jardin que je devais développer.  Depuis ce jour je n’ai pas cessé d’observer afin de pouvoir créer véritablement cette foret que je me suis toujours imaginé  pour mieux m’exprimer et pouvoir expliquer réellement ce que nul ne peu voir et toucher.

Ceci étant dit,  les années ont passé, les expériences se sont succédé  et l’école de la vie m’a instruite.  Tout comme on avait fait pour moi, j’essai du mieux que je peux de décrire ces émotions quelles soient bonnes ou mauvaises,  leur compréhension  personnelle et unique à chacun d’entre nous,    qu’il soit passionnel possessif ou fusionnel et inconditionnel. 

Toute expérience est bonne à prendre donc pour commencer, il suffit de chercher et trouver cette vérité ultime, la source de la création ; l’amour.

L’école de la vie.

On se demande souvent si tout est écrit quelque part, alors, forcément mon choix est déjà défini, on jette un petit coup d'œil en arrière pour envisager que pourrait être notre décision si on fait face à cette situation.

On fait ça le plus clair du temps, on se définit par notre vécu et nos expériences, une base solide pleine de références, malheureusement on a du mal à distinguer la ressemblance  de notre passé quand une erreur a été faite auparavant, et à cet instant, un événement similaire, un assortiment  de probabilité, de pseudo hasard et de synchronicité surviennent pour nous laisser la chance de faire un meilleur choix au lieu de regarder en arrière et anticiper, on  observe, on  comprend et on apprend.

La vie nous instruit de bien des façons, l'être humain a hérité d'elle son ironie  criante,  son sarcasme légendaire face aux fautes flagrantes  qu’on adore refaire et son humour qui arrive à briser les différences, les transformant en une unicité universelle.

L’école de la vie est d'une grande simplicité, quand on dit que tout est écrit, on ne parle pas de circonstance précise et détaillée, ceci va à l'encontre de notre libre arbitre qu’on nous a attribué, mais plutôt des leçons qu'on a à apprendre et c'est avec ces épreuves qu'on tisse notre destinée.

Notre Âme attire vers nous les situations qui sont là pour l'instruire  pour pouvoir passer et s'élever; comme dans un examen de passage de classe, ce qui révolte ici c'est  quand on rate un partiel  ou un contrôle  ça a plus d'impact que de rater  tout ce dont cette école  a entrepris pour nous faire comprendre ou entrevoir ce qu'elle a de meilleur pour nous.

Ce qui nous définit en tant qu'être ne dépendra jamais de notre vécu comme on essayait de nous le faire croire, mais plutôt qu'on se caractérise par  chaque choix, chaque décision qu'on décide de prendre à cet instant, le moment présent ceci est l'une des plus grande leçons  de la vie, que chaque action engendre une réaction et que notre libre arbitre et nos intentions sont maîtres de notre évolution. 

Le phare de notre Âme.

Une pensé aussi simple que complexe engendrée par l interprétation de notre esprit selon notre compréhension du monde et de la vie.

On commence tout d’abord par faire le tri, on se laisse submerger par nos émotions qui agissent comme un combustible puissant pour véhiculer ces concepts  acquis, ce qui est bien pour nous qu’on déplaise à autrui. L'essentiel est de s'occuper l’esprit, laisser la noirceur de notre ressenti nous envahir peu a peu au lieu de voir la subtilité de notre  lumière qui se terre en plein cœur  de cette obscurité déguisée.

Notre âme, telle un phare éclairant  l'abondance de notre être  qu'on est supposé atteindre et que malencontreusement, acharné comme on est, on se laisse embarquer par une vieille barque rafistolée par notre ego  quand il cherche  à se protéger ,naviguant le plus loin possible de cette clarté qui mettrait à nu sa fragilité prenant comme direction  une terre dite promise .

 Ce lieu qu’on essayait de nous vendre depuis qu’ils on dit qu'on était les être les plus évolués et qu'on méritait la vie plus qu'un arbre centenaire  qui a passé le plus clair de son ascension à rafraîchir notre air  s'assurant que nous, ainsi que nos descendants, puissions vivre en respirant pleinement, admirant  les rayons du soleil traversant  les petites brèches dans les nuages qui scrutent les cieux .

Auparavant, la simplicité faisait loi. Alors que là, sur cette terre isolée, là où notre ego nous guide en nous laissant aveuglé, ce que je vois c'est non pas la perte de la foi mais la complexité des contrastes de couleurs qui souhaitent nous faire intégrer. Ils veulent nous faire oublier le blanc et le noir et œuvrent pour qu'on puisse percevoir ce gris qui nous calme avec cette phrase du mal nécessaire du prix à payer de la guerre que pour engendrer la paix quelque part il faut tuer autre part , et afin de faire face à notre sensibilité ils ne cessaient de nous afficher ces images de meurtres d'enfants  la plupart du temps à peine nés.

Pour qu'on puisse intégrer ça : d'une part, nourrir notre peur et agrandir notre besoin de les travailler pour qu'on puisse se sentir en sécurité et d'autre part, nous banaliser cette vue ensanglantée disant que c'est justifié, il vaut  mieux prévenir que guérir,  que c'est inévitable alors commençons les premiers.

On nous dicte nos lois.

On nous dicte nos choix.

Jouant avec nos faiblesses.

Ignorant nos forces.

Tuer notre imagination est l'un de leur plus grand but qui reste inachevé.

Semant le chaos partout.

Oubliant qu'on les entoure.

Que l'océan englobe la terre .

Que chaque phare qui réside en chacun de nous attende son guide perdu dans cette barque finira par trouver sa voie pour que nous puissions tous ensemble éclairer cette terre avec notre lumière.